Linux |
CentOS 5.3 |
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latex2html(1) |
latex2html − convertit des fichiers LaTeX en HTML (HyperText Markup Language) |
latex2html [options] [target [target ...]] |
Cette page de manuel explique l’utilitaire LaTeX2HTML , qui est un programme en Perl pour traduire un document au format LaTeX dans le format HTML.RB . Pour chaque fichier source donné comme argument le traducteur créera un répertoire contenant les fichiers HTML correspondants. Pour les détails et les exemples, veuillez consulter la documentation html en ligne ; une copie devrait être disponible dans /usr/share/doc/latex2html/manual.ps.gz ou dans /usr/share/doc/latex2html/html/ |
Cette documentation a été extraite du manuel TeX, et peut ne pas être à jour. Pour une documentation autorisée, veuillez vous référer à la documentation en ligne. |
-t <top-page-title> |
La même chose que : $TITLE = <top-page-title> ; Nomme le document en usant de ce titre. |
-short_extn |
La même chose que : $SHORTEXTN = 1; Utilise un préfixe de nom de fichier de .htm pour la production de fichiers HTML. Est particulièrement utile pour créer des pages devant être stockées sur CD-ROM ou d’autres media, utilisés avec des OS qui requièrent des extensions à 3 caractères. |
-long_titles <num> |
La même chose que: $LONG_TITLES = <num>; à la place des noms standards : node1.html, node2.html,... les noms de fichiers pour chaque page en HTML sont construits à partir des premiers <num> mots de la tête de section de cette page, séparée par le caractère « _ ». Les virgules et les mots courts communs (un une par et pour le la les de des) ne sont pas pris en compte dans les titres et le comptage des mots. Attention : Utilisez cette bascule avec une grande prudence. Il n’y a pas actuellement de contrôles pour singulariser les noms ou les longueurs totales. Les très longs mots peuvent aisément résulter d’un usage de ce dispositif. |
-custom_titles |
La même chose que : $CUSTOM_TITLES = 1; à la place des noms standards : node1.html, node2.html, ... les noms de fichiers pour chaque page HTML sont construits selon une sous-routine en Perl appelée custom_title_hook. L’utilisateur peut définir son/sa propre version de cette sous-routine, dans un fichier .latex2html-init pour disons, outrepasser les paramètres par défault (qui utilisent des noms standard). Cette sous-routine prend la tête de section comme paramètre et doit retourner le nom requis, ou la chaîne vide (par défaut). |
-dir <output-directory> |
La même chose que : $DESTDIR = <output-directory> ; Redirige la sortie vers le répertoire indiqué. Le comportement par défaut est de créer ou de réutiliser un répertoire ayant le même nom que le préfixe du document en cours de traitement. |
-no_subdir |
La même chose que : $NO_SUBDIR = 1; Place les fichiers HTML générés dans le répertoire courant. Ceci outrepasse n’importe quelle configuration de $DESTDIR. |
-prefix <filename-prefix> |
La même chose que : $PREFIX = <filename-prefix> ; La structure <filename-prefix> sera étendue à tous les fichiers .gif, .pl et .html produits, excepté pour le fichier .html du niveau le plus haut ; il peut inclure un chemin de répertoire (relatif). Cela rend possible le fait de faire coexister de multiples produits de LaTeX2HTML dans le même répertoire. Cependant, ne cherchez pas à lancer simultanément de multiples instances de LaTeX2HTML utilisant le même répertoire de sortie, sinon de nombreux fichiers temporaires s’écraseront les uns les autres. |
-auto_prefix |
Même chose que : $AUTO_PREFIX = 1; Construit le préfixe tel que ‘<title>-’ pour être étendu à tous les fichiers produits, où <title> est le nom du fichier LaTeX en cours de traitement. (Noter le « − » dans ce préfixe.) Cela force tout paramétrage de $PREFIX. |
-no_auto_link |
Même chose que : $NO_AUTO_LINK = 1; Si $NO_AUTO_LINK est vide et les variables $LINKPOINT et $LINKNAME sont définies de manière appropriée (comme par défaut dans le fichier latex2html.config), ainsi un lien vers la page principale en HTML est produit, utilisant le nom fourni dans $LINKNAME. Typiquement cette page est index.html ; sur beaucoup de systèmes un fichier de ce nom sera utilisé, s’il existe, quand un navigateur tentera d’afficher une URL qui pointe vers un répertoire. Sur d’autres systèmes une valeur différente pour $LINKNAME peut être appropriée. Typiquement $LINKPOINT a la valeur $FILE.html, mais cela peut être changé pour coïncider avec la page HTML cible du lien automatique. L’usage de la bascule -no_auto_link annule cette liaison automatique, lorsqu’elle n’est pas requise pour un document particulier. |
-split <num> |
Même chose que : $MAX_SPLIT_DEPTH = <num>; (la valeur par defaut est 8) Arrête de découper les sections en fichiers séparés à cette profondeur. Spécifier -split 0 mettra le document entier dans un seul fichier HTML. Voir ci-dessous pour les différents niveaux de sections. Voir aussi l’item suivant pour savoir comment régler une profondeur « relative » du découpage en sections. |
-split +<num> |
Même chose que : $MAX_SPLIT_DEPTH = -<num>; (default is 8) Le niveau auquel on stoppe le découpage en sections est calculé « relativement au » niveau le plus profond de sectionnement propre au document en question. Par exemple, si le document contient des commandes \section, mais pas \part ou \chapter, alors -split +1 provoquera des séparations à chaque \section mais pas à un niveau plus profond; tandis que -split +2 ou -split +3 découpent jusqu’à la commande \subsection et jusqu’à \subsubsection respectivement. En spécifiant -split +0 on met le document entier dans un seul fichier HTML. |
-link <num> |
Même chose que : $MAX_LINK_DEPTH = <num>; (default is 4) Pour chaque noeud, crée des liens vers les noeuds-fils plus profondément que le niveau du noeud de section. Spécifier -link 0 ne montrera pas de lien vers les noeuds-fils de cette page, -link 1 montrera seulement les descendants immédiats, etc. Une valeur au moins aussi grande que -split <num> produira une mini table-des-matières sur chaque page (si elle n’est pas vide), pour la structure arborescente enracinée sur ce noeud. Lorsque la page possède un niveau de sectionnement moindre que la profondeur -split, de façon qu’une mini table-des-matières reste liée à d’autres pages HTML, cette table se situera au bas de la page, à moins qu’elle ne soit placée ailleurs en utilisant la commande \tableofchildlinks. Sur les pages ayant un niveau de sectionnement juste moindre que la profondeur définie par -split la mini table-des-matières contiendra des liens vers les subsections etc. et cela sur la même page HTML. Là , la table est située en haut de cette page, à moins d’être placée ailleurs en utilisant la commande \tableofchildlinks. |
-toc_depth <num> |
Même chose que : $TOC_DEPTH = <num>; (default is 4) Les niveaux de section jusqu’à <num> doivent être inclus dans l’arbre de la Table-des-Matières. |
-toc_stars |
: $TOC_STARS = 1; Les Sections créées en utilisant le formulaire des commandes de section sont incluses dans la Table-des-Matières. Comme dans LaTeX, ces sections ne sont pas habituellement listées. |
-show_section_numbers |
Même chose que : $SHOW_SECTION_NUMBERS = 1; Montre les numéros de section. Par défaut les numéros de section ne sont pas montrés, ceci afin d’encourager l’usage des sections particulières comme documents indépendants. En vue d’être montré, le titre des sections doit être unique et ne doit pas contenir de graphismes. |
-unsegment |
Même chose que : $UNSEGMENT = 1; Traite un document segmenté (voir la section à propos de la segmentation de document) comme s’il n’était pas segmenté. Cela conduit le convertisseur à concaténer tous les segments et à les traiter comme un tout. Vous pouvez trouver cela utile pour vérifier la cohérence d’un document segmenté. Pour tous les documents les niveaux de sectionnement mentionnés ci-dessus sont : |
0 document 1 part 2 chapter 3 section 4 subsection 5 subsubsection 6 paragraph 7 subparagraph 8 subsubparagraph |
Ces niveaux sont appliqués même lorsque le document ne contient pas de sections pour les niveaux plus superficiels ; e.g. pas de commande \part ou \chapter est le plus courant, spécialement lorsqu’on utilise la classe de document "article" de LaTeX. |
Les commutateurs décrits ici gouvernent le type de code HTML qui peut être généré, et comment choisir entre des options possibles quand elles sont des stratégies alternatives pour implémenter des partions de code LaTeX. |
-html_version (2.0|3.0|3.2)[,(math|i18n|table)]* |
Même chose que: $HTML_VERSION = ... ; Cela spécifie à la fois la version HTML à générer, et n’importe quelles spécialités (non-standard) HTML qui peuvent être requises. Le numéro de version correspond à une DTD (Document Type Definition) publiée comme standard HTML (bien que 3.0 n’a jamais été acceptée et en conséquence retirée). Un fichier Perl correspondant dans le sous-répertoire versions/ est chargé; ces fichiers sont appelés ‘html<num>.pl’. Après le numéro de version, une liste d’extensions séparée par une virgule peut être donnée. Chaque item correspond à un fichier ‘<name>.pl’ lui aussi situé dans le sous-répertoire versions/. Lorsqu’un tel fichier est chargé le code HTML résultant ne peut être prévu avec la validation de la DTD spécifiée. Une exception est math lorsque le commutateur -no_math est aussi utilisé, ce qui devrait conduire encore à une validation. Habituellement, les versions 2.0, 3.2 et 4.0 sont disponibles. (et aussi 2.1, 2.2, 3.0 et 3.1, pour des raisons historiques). Les extensions i18n, tables, math correspondent à peu prés à ce qui était utilisé dans les versions ‘2.1’, ‘2.2’, ‘3.1’, lors des éditions de LaTeX2HTML jusqu’à 1996. Maintenant ces extensions peuvent être chargées avec n’importe quelle version de ‘2.0’, ‘3.2’ ou ‘4.0’ comme le standard spécifié. La version par défaut est normalement paramétrée pour être ‘3.2’, dans le fichier latex2html.config. |
-no_tex_defs |
Même chose que: $TEXDEFS = 0; (default is 1) Quand $TEXDEFS est paramétré (par défaut) le fichier texdefs.perl sera lu. Cela permet au code d’autoriser la reconnaissance des commandes TEX communes comme \def, \newbox, \newdimen et autres, spécialement à l’intérieur du préambule du document. Dans le cas de \def, la définition peut même être interprétée complètement, mais cela requiert du formulaire de n’être pas trop compliqué. Si $TEXDEFS est paramétré sur « 0 » ou vide, alors texdefs.perl ne sera pas chargé ; le convertisseur ne fera aucune tentative pour interpréter des commandes TEX brutes. Cette fonction a pour finalité de permettre aux auteurs sophistiqués la possibilité d’insérer des commandes arbitraires en TEX, dans des environnements qui sont destinés à être traités de toute façon par LaTeX.RB ; e.g. figures, théorèmes, images, etc. Bien que ceci soit rarement un besoin, il existe maintenant une meilleure prise en charge pour ces types d’environnement. Il y a maintenant d’autres méthodes pour spécifier quels morceaux de code doivent passer par LaTeX pour de la génération explicite d’image ; voyez la discussion sur l’environnement « makeimage ». |
-external_file <filename> |
Même chose que: $EXTERNAL_FILE = <filename> ; Spécifie le préfixe du fichier .aux que ce document doit lire. L’extension .aux sera dépendante de ce préfixe pour obtenir le nom de fichier complet, avec le chemin du répertoire, si nécessaire. Ce fichier pourrait contenir l’information nécessaire en ce qui concerne les citations, les figures, les numéros de table et de section à partir de LaTeX et peut-être aussi d’autres informations. L’utilisation de ce commutateur est vital pour les segments du document, traités séparément et liés pour apparaître comme s’ils étaient générés à partir d’un seul document LaTeX. |
-font_size <size> |
Même chose que : $FONT_SIZE = <size> ; Cette option procure un meilleur contrôle sur la taille des polices dans des environnements produits en images en utilisant LaTeX. <size> doit être une des tailles de police que LaTeX reconnaît ; i.e. ‘10pt’, ‘11pt’, ‘12pt’, etc. Par défaut, ‘10pt’, ou quelle que soit l’option qui a pu être spécifiée dans la ligne \documentclass ou la ligne \documentstyle. Quelle que soit la taille sélectionnée, elle sera augmentée par les variables d’installation $MATH_SCALE_FACTOR, $FIGURE_SCALE_FACTOR et $DISP_SCALE_FACTOR appropriées. Note : ce commutateur ne procure pas de contrôle sur la taille du texte des pages HTML. Un tel contrôle est entièrement dépendant des choix de l’utilisateur, lors de la configuration des fenêtres du navigateur. |
-scalable_fonts |
Même chose que : $SCALABLE_FONTS = 1; Utilisé lorsque les polices variables, comme les versions PostScript des polices TEX, sont disponibles pour la génération d’image. Cela a pour effet de régler $PK_GENERATION sur ‘1’, et de vider $DVIPS_MODE en écrasant tous les réglages antérieurs de ces variables. |
-no_math |
Même chose que : $NO_SIMPLE_MATH = 1; Ordinairement les expressions mathématiques simples sont configurées pour des polices texte orinaires, mais en italique. Lorsqu’une partie de l’expression ne peut pas être représentée de cette façon, une image est produite de la formule entière. Cette méthode est appelée « simple math ». Quand $NO_SIMPLE_MATH est appelé, toutes les mathématiques sont rendues par des images, qu’elles soient simples ou non. Cependant, si l’extension math est chargée, en utilisant le commutateur -html_version décrit précédemment, alors spécifier -no_math produit un effet sensiblement différent. Alors ce sont les tags spéciaux <MATH> et les entités qui seront annulés. à leur place est utilisé un schéma sophistiqué pour parser les expressions mathématiques. Les images sont faites de ces sous-parties d’une formule qui ne peut être exprimée adéquatement en utilisant des caractères de texte (italicisés) et les tags <SUB> et <SUP>. Voir la sous-section sur les mathématiques pour plus de détails. |
-local_icons |
Même chose que : $LOCAL_ICONS = 1; Une copie de chacune des icônes réellement utilisée dans le document est placée dans le répertoire avec les fichiers HTML et les images générées. Cela permet au document entier d’être complètement contenu dans ce répertoire ; autrement, les icônes doivent être retrouvées à partir d’un serveur (qui est parfois distant). Les icônes sont normalement copiées à partir d’un sous-répertoire de $LATEX2HTMLDIR, configuré dans latex2html.config. Un ensemble alternatif d’icônes peut être utilisé en spécifiant un chemin de répertoire (relatif) dans $ALTERNATIVE_ICONS où les images peuvent se trouver. |
-init_file <file> |
Charge le fichier d’initialisation spécifié. Ce fichier Perl sera chargé après le chargement de $HOME/.latex2html-init, ou de .latex2html-init dans le répertoire local, si un tel fichier existe. Il est lu au moment où le commutateur est actif, le contenu du fichier peut alors changer une des valeurs d’une des variables qui ont été préalablement établies, ainsi que n’importe laquelle des options par défaut. Plus d’un fichier d’initialisation peut être lu de cette manière. [change_begin]98.1 |
-no_fork |
Même chose que : $NOFORK = 1; Par ce réglage, est désactivée une fonction dans la toute première partie de la procédure où quelques opérations demandant beaucoup de mémoire sont obtenues par des procédures-filles issues de la génération par "fork". Certains systèmes mono-tâche, comme DOS, ne supportent pas cette fonction. Ãtablir la fonction $NOFORK assure alors que les descripteurs de fichiers non-nécessaire et utilisés avec la procédure de « fork », ne sont pas inutilement utilisés, provoquant alors dans Perl une erreur fatale. |
-iso_language <type> |
Ceci vous permet de spécifier une langue différente de ’EN’ à utiliser dans les entrées DTD du document HTML.RB , e.g. ’EN.US’. [change_end] 98.1 |
-short_index |
Même chose que : $SHORT_INDEX = 1; Crée des Index plus courts, en utilisant des liens codés ; ceci est pleinement compatible avec le paquetage makeidx. |
-no_footnode |
Même chose que : $NO_FOOTNODE = 1; Supprime l’usage d’un fichier séparé pour les notes de bas de page ; à la place les notes sont placées au bas des pages HTML où se trouvent les occurrences. Quand cette option est utilisée, il est fréquemment préférable de changer le style du marqueur utilisé pour indiqué la présence de la note. Ceci est fait comme dans LaTeX, en utilisant du code comme suit. \renewcommand{\thefootnote}{\arabic{footnote}} Tous les styles \arabic, \alph, \roman, \Alph et \Roman sont disponible. [change_begin]98.1 |
-numbered_footnotes |
Même chose que : $NUMBERED_FOOTNOTES = 1; Si ceci est configuré vous obtiendrez chaque note doté d’un nombre successif afin de rendre plus aisée la lisibilité. [change_end] 98.1 |
-address <author-address> |
Même chose que : $ADDRESS = <author-address> ; Signe chaque page avec cette adresse. Voir latex2html.config pour un exemple utilisant du code Perl pour inclure automatiquement la date. Une sous-routine Perl définie par l’utilisateur appelée &custom_address peut être utilisée à la place, si elle est définie ; elle prend la valeur de $ADDRESS comme paramètre, qui peut être utilisé ou ignoré, comme on le désire. Au moment où cette sous-routine sera appelée, les variables $depth, $title, $file concernant le niveau de sectionnement, le titre et le nom de fichier de la page HTML seront produites ; $FILE concerne le nom du fichier pour la page-titre du document entier. |
-info <string> |
Même chose que : $INFO = <string> ; Génère une nouvelle section ‘‘About this document’’ contenant l’information sur le document à traduire. Par défaut, on génère une section avec l’information sur le document original, la date, l’auteur et le traducteur. Une chaîne vide (ou la valeur ‘0’) empêche la création de cette section. Si une chaîne non-vide est donnée, elle sera placée comme contenu de la page « About this document » à la place de l’information par défaut. |
Ces commutateurs indiquent quelles sont les images crées, quelles sont les anciennes images réutilisées par les passes successives ou les nouvelles crées fraîchement, et si les effets d’anti-aliasing sont utilisés dans ces images mêmes. |
-ascii_mode |
Même chose que : $ASCII_MODE = $EXTERNAL_IMAGES = 1; Utilise seulement des caractères ASCII et n’inclut aucune image dans la sortie finale. En -ascii_mode la sortie du traducteur (convertisseur) peut être affichée par des navigateurs en mode caractère, comme lynx, qui ne supporte pas les images en ligne (via la balise <IMG>). |
-nolatex |
Même chose que : $NOLATEX = 1; Rend indisponible le mécanisme pour passer un environnement inconnu dans un processus LaTeX. Ceci peut être conçu comme un « mode brouillon » qui permet une traduction plus rapide de la structure de base du document et du texte, sans figures, équations ou tables fantaisistes. (Cette option a été rendue obsolète par l’option -no_images, voir ci-dessous.) |
-external_images |
Même chose que : $EXTERNAL_IMAGES = 1; Au lieu d’inclure chaque image générée dans le document, les laisse hors du document et fournit des liens hypertext links pour elles. |
-ps_images |
Même chose que : $PS_IMAGES = $EXTERNAL_IMAGES = 1; Utile les liens vers les fichiers externes PostScript plutôt que des images en ligne dans le format graphique choisi. |
-discard |
Même chose que : $DISCARD_PS = 1; Les fichiers temporaires PostScript sont éliminés immédiatement après leur utilisation pour créer l’image dans le format graphique désiré. |
-no_images |
Même chose que : $NO_IMAGES = 1; Ne cherche pas à produire des images en ligne. Les images manquantes peuvent être générées « off-line » en redémarrant LaTeX2HTML avec l’option -images_only . |
-images_only |
Même chose que : $IMAGES_ONLY = 1; Cherche à convertir toute image en ligne qui a été laissée par une passe précédente de LaTeX2HTML. |
-reuse <reuse_option> |
Même chose que : $REUSE = <reuse_option>; Ce commutateur spécifie jusqu’où les fichiers d’image sont partagés ou recyclés. Il y a 3 options valides : [*] 0 Ne jamais partager ou recycler des fichiers d’image. Ce choix invoque aussi une session interactive demandant à l’utilisateur ce qu’il faut faire d’un répertoire HTML pré-existant, s’il existe. [*] 1 Recycle les fichiers image d’une passe précédente si elles sont disponible, mais ne partage pas les images identiques qui doivent être crées dans cette passe. [*] 2 Recycle les fichiers image d’une passe précédente et partage les images identiques de cette passe. Ceci est par défaut. Un section plus loin fournit de l’information supplémentaire à propos de la réutilisation d’image. |
-no_reuse |
Même chose que : $REUSE = 0; Ne partage pas ou ne recycle pas les images générées durant des conversions précédentes. Ceci est l’équivalent de -reuse 0 . (Cela rend possible la session interactive initiale durant laquelle on demande à l’utilisateur s’il faut réutiliser l’ancien répertoire, effacer son contenu ou quitter.) |
-antialias |
Même chose que : $ANTI_ALIAS = 1; (la valeur par défaut est 0.) Les images générées des environnements de figure et les fichiers externes PostScript doivent utiliser l’anti-aliasing. Par défaut l’anti-aliasing n’est pas utilisé avec ces images, puisque ce la peut interférer avec le contenu de ces images elles-mêmes. |
-antialias_text |
Même chose que : $ANTI_ALIAS_TEXT = 1; (la valeur par défaut est 1.) Les images générées de matériaux saisis à la frappe comme du texte, des formules mathématiques, des tables et le contenu d’environnements comme makeimage, doivent utiliser des effets d’anti-aliasing. Par défaut, on utilise l’anti-aliasing pour le texte, puisque les images résultantes sont plus claires sur l’écran. Cependant, le défaut peut être modifié localement. |
-no_antialias |
Même chose que : $ANTI_ALIAS = 0; (la valeur par défaut est 0.) Les images générées des environnements figure et les fichiers externes PostScript ne doivent pas utiliser d’anti-aliasing avec des images, bien que le défaut local peut avoir été changé pour l’utiliser. |
-no_antialias_text |
Même chose que : $ANTI_ALIAS_TEXT = 0; (la valeur par défaut est 1.) Les images générées de matériaux saisis à la frappe ne doivent pas utiliser d’effets d’anti-aliasing. Bien que les images affichées sur l’écran sont définitivement améliorées pour utiliser l’anti-aliasing, les images imprimées peuvent être complètement barbouillées, même avec une résolution de 300dpi. Les imprimantes à résolution plus haute font un meilleur travail avec des images en gris dégradé. [change_begin]98.1 |
-white |
Même chose que : $WHITE_BACKGROUND = 1; (la valeur par défaut est 1.) Assure que les images d’environnements figure ont un arrière-plan blanc. Autrement des effets de transparence ne peuvent pas fonctionner correctement. |
-no_white |
Même chose que : $WHITE_BACKGROUND = ’’; (la valeur par défaut est 1.) Annule la requête selon laquelle les environnements figure ont un arrière-plan blanc. |
-ldump |
Même chose que : $LATEX_DUMP = 1; (la valeur par défaut est 0.) Utilisez cela si vous voulez accélérer la production d’image durant la seconde passe et les suivantes de LaTeX2HTML sur le même document. Le convertisseur produit maintenant un dump au format LaTeX du préambule de images.tex qui est utilisé dans les passes suivantes. Cela réduit significativement le temps de démarrage quand LaTeX lit le fichier images.tex pour la génération d’image. Cette procédure consomme réellement du temps additionnel à la première passe, puisque LaTeX est appelé deux fois -- une fois pour créer le fichier format-dump, puis encore une fois pour le charger et l’utiliser. Le gain vient avec un chargement plus rapide sur les passes successives. 1 Meg d’espace disque est approximativement consommé par le fichier dump. [change_end] 98.1 |
Les commutateurs suivants permettent d’inclure un ou plusieurs panneaux de navigation sur chaque page HTML, et aussi quels boutons à inclure dans un tel panneau. |
-no_navigation |
Même chose que : $NO_NAVIGATION = 1; Désactive le mécanisme pour mettre des liens de navigation sur chaque page. Cela outrepasse toutes les configurations des variables $TOP_NAVIGATION, $BOTTOM_NAVIGATION et $AUTO_NAVIGATION. |
-top_navigation |
Même chose que : $TOP_NAVIGATION = 1; Met les liens de navigation en haut de chaque page. |
-bottom_navigation |
Même chose que : $BOTTOM_NAVIGATION = 1; Met les liens de navigation en bas de chaque page ainsi qu’en haut de celle-ci. |
-auto_navigation |
Même chose que : $AUTO_NAVIGATION = 1; Met les liens de navigation en haut de chaque page. En met une au bas de la page, si la page excède $WORDS_IN_PAGE nombre de mots (par défaut = 450). |
-next_page_in_navigation |
Même chose que : $NEXT_PAGE_IN_NAVIGATION = 1; Met un lien vers la page logique suivante dans le panneau de navigation. |
-previous_page_in_navigation |
Même chose que : $PREVIOUS_PAGE_IN_NAVIGATION = 1; Met un lien vers la page logique précédente dans le panneau de navigation. |
-contents_in_navigation |
Même chose que : $CONTENTS_IN_NAVIGATION = 1; Met un lien vers la table des matières dans le panneau de navigation s’il y en a une. |
-index_in_navigation |
Même chose que : $INDEX_IN_NAVIGATION = 1; Met un lien vers la page d’index du panneau de navigation s’il y a un index. |
Lorsqu’on produit un document simple, les commutateurs décrits dans cette section ne devraient pas être du tout utilisés, puisque les panneaux de navigation automatiquement générés, décrits dans la page précédente devraient générer tous les liens de navigation requis. Cependant, si un document est considéré comme une partie d’un document beaucoup plus grand, alors les liens à partir de sa première et dernière page, vers d’autres parties d’un document (virtuel) plus grand, ont besoin d’être explicitement fournis pour quelques uns des boutons du panneau de navigation. Les commutateurs suivants permettent ces liens vers d’autres documents, en fournissant le titre et l’URL pour les hyperliens du panneau de navigation. En particulier, la fonction « Document Segmentation » fait nécessairement grand usage de ces commutateurs. Il est d’usage que ces hyperliens de navigation pour le texte et les cibles soient enregistrés dans un Makefile, pour éviter l’augmentation de la saisie de longues lignes de commandes aux nombreux commutateurs. |
-up_url <URL> |
Même chose que: $EXTERNAL_UP_LINK = <URL> ; Spécifie un lieu universel de ressource (URL) à associer avec le bouton « UP » dans les panneaux de navigation. |
-up_title <string> |
Même chose que : $EXTERNAL_UP_TITLE = <string> ; Spécifie un titre associé avec cet URL. |
-prev_url <URL> |
Même chose que : $EXTERNAL_PREV_LINK = <URL> ; Spécifie une URL à associer avec le bouton « PREVIOUS » dans le panneau de navigation. |
-prev_title <string> |
Même chose que : $EXTERNAL_PREV_TITLE = <string> ; Spécifie un titre associé à cet URL. |
-down_url <URL> |
Même chose que : $EXTERNAL_DOWN_LINK = <URL> ; Spécifie un URL pour le bouton « NEXT » dans le panneau de navigation. |
-down_title <string> |
Même chose que : $EXTERNAL_DOWN_TITLE = <string> ; Spécifie un titre associé à cet URL. |
-contents <URL> |
Même chose que : $EXTERNAL_CONTENTS = <URL> ; Spécifie un URL pour le bouton « CONTENTS », pour les segments du document qui autrement n’en auraient pas. |
-index <URL> |
Même chose que : $EXTERNAL_INDEX = <URL> ; Spécifie un URL pour le bouton « INDEX », pour les segments du document qui autrement n’auraient pas d’index. |
-biblio <URL> |
Même chose que : $EXTERNAL_BIBLIO = <URL> ; Spécifie l’URL pour la page de bibliographie à utiliser, quand elle pas explicitement une partie du document lui-même. Attention : Sur certains systèmes il est difficile de donner des chaînes en texte <string> contenant des caractères espace, en ligne de commande ou via un Makefile. Une solution pour résoudre cette difficulté est d’utiliser la variable correspondante. Une autre voie est de remplacer ces espaces par un signet bas (_). |
Les premiers des deux commutateurs suivants s’expliquent eux-même. Quand des problèmes surgissent dans le traitement d’un document, les commutateurs -debug et -verbosity provoquent chacun la génération par LaTeX2HTML d’une sortie écran plus importante. Ces messages supplémentaires devraient pouvoir aider à localiser la cause de ces problèmes. |
-tmp <path> |
Définit un répertoire temporaire à utiliser pour la génération d’image. Si <path> est 0, le répertoire temporaire standard /tmp est utilisé. |
-h(elp) |
Imprime la liste de toutes les options en ligne de commande. |
-v |
Imprime la version courante de LaTeX2HTML. |
|
-debug |
Même chose que : $DEBUG = 1; Tourne en mode debug, affichant des messages et/ou de l’information de diagnostic sur les fichiers lus et les utilitaires appelés par LaTeX2HTML. Montre tous les messages produits par ces appels. Plus de diagnostics complets, à partir du débogueur Perl, peuvent être obtenus en ajoutant la chaîne ‘-w-’ à la première ligne des scripts Perl de latex2html (et autres). |
-verbosity <num> |
Même chose que : $VERBOSITY = <num>; Affiche les messages révélant certains aspects du processus produit par LaTeX2HTML sur le fichier fourni en entrée. Le paramètre <num> peut être un entier de 0 à 8. Chaque valeur plus haute ajoute aux messages produits. |
0. |
Pas de traçage spécial ; comme pour les versions de LaTeX2HTML antérieures à V97.1. |
||
1. |
(Ceci est par défaut.) Montre les têtes de section et les noms de fichiers HTML, et les indicateurs que les étapes majeures du processus ont été achevées. |
||
2. |
Imprime les noms d’environnement et les numéros d’identifiant, et les nouveaux théorèmes-types. Montre les avertissements quand ils apparaissent, et les indicateurs d’étapes supplémentaires auxquelles il faut procéder. Imprime les noms de fichiers pour stocker le rang des données auxiliaires. |
||
3. |
Imprime les noms de commande lorsqu’elles sont rencontrées dans le cours du processus; aussi pour chaque commande inconnue rencontrée pendant la procédure initiale. Montre les noms des nouvelles commandes, environnements, théorèmes, compteurs et dépendances de compteurs, pour chaque partition de document. |
||
4. |
Indique la commande de substitution du processus initial dans les environnements math. Imprime le contenu des environnements inconnus à passer dans LaTeX, à la fois avant et après être revenu à la source LaTeX. Montre toutes les opérations affectant les valeurs des compteurs. Montre aussi les liens, les labels et les clés de sectionnement, au moment où ils sont traités. |
||
5. |
Détaille le traitement dans le préambule du document. Montre les substitutions des nouveaux environnements. Montre les contenus de tous les environnements reconnus, à la fois avant et après le traitement. Montre l’information dans le cache/encodée pour les clés d’image, permettant à deux images d’être testées pour égalité. |
||
6. |
Montre les remplacements des nouvelles commandes, les accents et les commandes enveloppées. |
||
7. |
Trace le traitement des commandes en mode math ; à la fois avant et après. |
||
8. |
Trace le traitement de toutes les commandes, à la fois avant et après. L’option en ligne de commande ne règle seulement qu’une valeur initiale. Durant le traitement la valeur de $VERBOSITY peut être réglée dynamiquement en utilisant la commande \htmltracing{...}, dont l’argument est la valeur désirée, ou par l’usage de la commande plus générale de \HTMLset comme suit : \HTMLset{VERBOSITY}{<num>}. |
Les variables de configuration décrites ici ne garantissent pas un commutateur en ligne de commande pour assigner des valeurs. Soit elles représentent des aspects de LaTeX2HTML qui sont spécifiques au site local, soit elles gouvernent des propriétés qui doivent être appliquées à tous les documents, plus que quelque chose qui changerait selon les différents documents dans un sous-répertoire particulier. Normalement, ces variables ont leur valeur réglés dans le fichier latex2html.config. Dans le listing suivant sont montrées les valeurs par défaut, ainsi que comme les lignes de code Perl utilisées pour établir ces valeurs. Si une valeur différente est requise, alors elles peuvent être assignées à partir d’un fichier local d’initialisation .latex2html-init, sans affecter les valeurs par défaut pour les autres utilisateurs, ou les documents traités à partir d’autres répertoires. |
$dd |
Garde les chaînes à utiliser dans les noms de fichiers pour délimiter les répertoires ; le réglage est fait de manière interne sur ‘/’, à moins que la variable ait déjà donné une valeur dans latex2html.config. Note : Cette valeur ne peut pas être donnée dans un fichier d’initialisation .latex2html-init, puisque sa valeur a besoin d’être connue afin de trouver ce fichier. |
$LATEX2HTMLDIR |
Lu par le script de test install à partir de latex2html.config, sa valeur est insérée dans le script Perl de latex2html comme partie du processus d’installation. |
$LATEX2HTMLSTYLES = $LATEX2HTMLDIR/styles ; |
Lu à partir du fichier latex2html.config par install-test, sa valeur est contrôlée pour localiser le répertoire de styles/ . |
$LATEX2HTMLVERSIONS = $LATEX2HTMLDIR/versions ; |
La valeur de cette variable doit être assignée dans latex2html.config pour spécifier le chemin du répertoire où la version et les fichiers d’extension peuvent être trouvés. |
$ALTERNATIVE_ICONS = ’’; |
Ceci peut contenir le chemin (relatif) du répertoire vers un ensemble d’icônes personnalisées pour être utilisées en conjonction avec le commutateur de -local_icons. |
$TEXEXPAND = $LATEX2HTMLDIR/texexpand ; |
Lu par le script Perl install-test de latex2html.config, sa valeur est appelée pour localiser le script Perl texexpand. |
$PSTOIMG = $LATEX2HTMLDIR/pstoimg ; |
Lu par le script Perl install-test de latex2html.config, sa valeur est utilisée pour localiser le script Perl pstoimg. |
$IMAGE_TYPE = ’<image-type>’; |
Paramétré dans latex2html.config, les <image-type> couramment supportées sont : gif et png. |
$DVIPS = ’dvips’; |
Lu par install-test de latex2html.config, sa valeur est contrôlée pour localiser le programme ou le script dvips. Il peut y avoir quelques raisons de changer ici de valeur : o ajouter un commutateur -P<printer> pour charger un fichier de configuration spécifique ; e.g. pour utiliser un ensemble spécifique de fontes PostScript, pour améliorer la génération d’images. o préférer un chemin à une version différente de dvips qui est normalement disponible comme défaut du système (e.g. les conditions requises de l’impression sont différentes). o attacher des fonctions de déboggage, en cas d’images de pauvre qualité ; on peut voir quels sont les chemins qui sont cherchés pour les polices et autres ressources. o préférer des commandes pour régler des variables de chemin dont dvips peut avoir besoin afin de localiser les polices ou d’autres ressources. Si la génération automatique de polices est requise, en utilisant Metafont, les variables de configuration suivantes sont importantes. |
$PK_GENERATION = 1; |
Cette variable doit être paramétrée, pour initier la génération de police ; autrement les polices seront étalonnées selon les ressources présentes sur le système local. En particulier, cette variable ne doit pas être paramétrée, si on désire utiliser des polices PostScript ou d’autres ressources de polices variables (voir le commutateur -scalable_fonts). |
$DVIPS_MODE = ’toshiba’; |
Le mode donné ici doit être disponible dans le fichier modes.mf, situé avec les fichiers de ressource Metafont, probablement dans le sous-répertoire misc/. |
$METAFONT_DPI = 180; |
La résolution requise, en points par pouce, doit être listée spécifiquement dans le script MakeTeXPK, appelé par dvips pour invoquer Metafont avec les paramètres convenables pour les polices requises. |
$LATEX = ’latex’; |
Lu par install-test dans latex2html.config, sa valeur est vérifiée pour localiser le programme ou le script latex. Si LaTeX a des difficultés pour trouver les fichiers de styles et/ou les paquetages, alors les commandes par défaut seront prépondérantes sur d’autres commandes pour paramétrer les variables d’environnement sollicitées pour résoudre ces difficultés ; e.g. $LATEX = ’setenv TEXINPUTS <path to search> ; latex’ . Il existe différentes variables pour aider au contrôle des fichiers exacts qui sont lus par LaTeX2HTML et par LaTeX dans le traitement des images : |
$TEXINPUTS |
Ceci est normalement paramétré à partir des variable d’environnement du même nom. Si des difficultés surviennent comme par exemple que les styles et les paquetages ne sont pas trouvés, alors des chemins supplémentaires peuvent êtres indiqués ici, pour résoudre ces difficultés. |
$DONT_INCLUDE |
Ceci procure une liste de noms de fichiers et d’extensions à ne pas inclure, même si requête est donnée de le faire par une commande \input ou \include. (Consulter latex2html.config pour liste par défaut.) |
$DO_INCLUDE = ’’; |
Liste des exceptions dans la liste $DONT_INCLUDE. Ces fichiers sont à lire si une commande \input ou \include le requiert. |
$ICONSERVER = ’<URL>’; |
Ceci est utilisé pour spécifier un URL pour trouver les icônes standard, utilisées comme boutons de navigation. Les noms donnés à la taille spécifique des images, ainsi que l’information sur la taille, peuvent être trouvés dans le fichier latex2html.config. Les icônes elles-mêmes peuvent être remplacées par des versions personnalisées ; fournie, cette information est correctement mise à jour, et la localisation des images personnalisées est spécifiée comme valeur de $ICONSERVER. Lorsque le commutateur -local_icons est utilisé, une copie des icônes est mise avec les fichiers HTML et les autres images, la valeur de $ICONSERVER n’est pas requise dans les fichiers HTML eux-même. Cependant, on en a besoin pour trouver les icônes originales à copier dans le répertoire local. |
$NAV_BORDER = <num>; |
La valeur donnée ici définit le contour, mesuré en points, autour de chaque icône. Une valeur de « 0 » est le standard, pour maintenir un alignement strict des boutons actifs et inactifs dans les panneaux de contrôle. |
$LINKNAME = ’"index.$EXTN"’; |
Ceci est utilisé quand la variable $NO_AUTO_LINK est vide, pour permettre à un lien URL vers le répertoire de travail d’atteindre la page principale du document entier. Cela spécifie le nom du fichier HTML qui sera automatiquement relié au nom du répertoire. La valeur de $EXTN est .html à moins de paramétrer $SHORTEXTN, auquel cas il s’agira de .htm. |
$LINKPOINT = ’"$FILE$EXTN"’; |
Ceci spécifie le nom du fichier HTML à dupliquer, ou symboliquement lié, avec le nom spécifié dans $LINKNAME. Au moment approprié, la valeur de $FILE est le nom de document, qui coïncide habituellement avec le nom du répertoire de travail. |
$CHARSET = ’iso_8859_1’; |
Ceci spécifie le paramétrage des caractères utilisés dans les pages HTML produites par LaTeX2HTML. Si aucune valeur n’est paramétrée dans un fichier de configuration ou d’initialisation, la valeur par défaut sera appliquée. La casse minuscule $charset est aussi reconnue, mais est recouverte par la forme majuscule. |
$ACCENT_IMAGES = ’large’; |
Les caractères accentués qui ne font pas partie des polices en ISO-Latin peuvent être générés en faisant une image avec LaTeX. Cette variable contient une liste (avec séparation par virgule) des commandes LaTeX pour paramétrer le style à utiliser quand ces images sont produites. Si la valeur de cette variable est vide alors l’accent est simplement ignoré, et un caractère de police non-accentuée est utilisé (pas une image) à la place. Dans le paquetage color.perl, les variables suivantes sont utilisées pour identifier les noms des fichiers contenant les spécifications des couleurs. Les fichiers possédant ces noms sont fournis dans le répertoire $LATEX2HTMLSTYLES mais ils peuvent être mis ailleurs, ou remplacés par des fichiers alternatifs ayant des noms différents. Dans ce cas, les valeurs de ces variables doivent être changées convenablement. $RGBCOLORFILE = ’rgb.txt’; $CRAYOLAFILE = ’crayola.txt’; Les variables suivantes peuvent être convenablement transformées dans le système par défaut, mais il est préférable de le faire dans le fichier local d’initialisation .latex2html-init, pour la cohérence globale du style des documents situés au même endroit, ou dans une proximité proche. |
$default_language = ’english’; |
Ceci établit quel code de langue va être inséré dans la balise <!DOCTYPE ... > qui peut apparaître au début des pages HTML qui seront produites. Charger un paquetage pour une langue différente doit signifier changer la valeur de cette variable. Voir aussi la variable $TITLES_LANGUAGE décrite ci-après. |
$TITLES_LANGUAGE = ’english’; |
Cette variable est utilisée pour spécifier les chaînes effectives utilisées en standard pour les sections du document, comme « Contents », « References », « Table of Contents », etc. Le support des titres en français et allemand est disponible dans les paquetages correspondants. Charger ces paquetages transformera normalement la valeur de cette variable, aussi bien que la variable $default_language décrite plus haut. |
$WORDS_IN_NAVIGATION_PANEL_TITLES = 4; |
Spécifie combien de mots utiliser dans les titres de section, dans les textes hyperliens qui accompagnent les boutons de navigation. |
$WORDS_IN_PAGE = 450; |
Spécifie la longueur minimum de la page avant qu’un panneau de navigation ne soit placé en bas de page, quand la variable $AUTO_NAVIGATION est paramétrée. |
$CHILDLINE = <BR><HR>; |
Ceci donne le code HTML à placer entre la table des liens-fils et le contenu ordinaire the de la page sur laquelle cette table opère. |
$NETSCAPE_HTML = 0; |
Lorsque les paramètres sont donnés, cette variable spécifie que le code HTML qui peut être présent ne se conforme pas à un quelconque standard officiel. Ceci restreint le contenu des balises <!DOCTYPE ... > qui se trouvent au début des pages HTML. |
$BODYTEXT = ’’; |
La valeur de cette variable est utilisée dans la balise <BODY ... > ; e.g. pour paramétrer le texte et/ou les couleurs de l’arrière-plan. Cette valeur est recouverte par la commande \bodytext, et peut être ajoutée ou participer en partie à des changements en utilisant la commande \htmlbody ou \color et \pagecolor du paquetage color. |
$INTERLACE = 1; |
En paramétrant, des images entrelacées sont produites. Ceci requiert la disponibilité d’utilitaires graphiques pour produire l’opération d’entrelacement. |
$TRANSPARENT_FIGURES = 1; |
En paramétrant l’arrière-plan des images peut être rendu transparent ; autrement, cet arrière-plan reste blanc. Ceci requiert la disponibilité d’utilitaires graphiques qui peuvent spécifier la couleur à rendre transparente. |
$FIGURE_SCALE_FACTOR = 1.6; |
Facteur d’échelle appliqué à toutes les images de figure et autres environnements, lorsque cela est fait dans une image. Noter que cela ne s’applique pas aux environnements mathématiques reconnus, qui utilisent à la place le contenu de $MATH_SCALE_FACTOR et $DISP_SCALE_FACTOR pour spécifier les échelles. |
$MATH_SCALE_FACTOR = 1.6; |
Facteur d’échelle appliqué à toutes les images mathématiques, à la fois en ligne et affichées. Une valeur de 1.4 est une bonne alternative, avec des images anti-aliasées. |
$DISP_SCALE_FACTOR = 1; |
Facteur d’échelle supplémentaire appliqué aux images affichées des environnements math. Lorsqu’elle est paramétrée cette valeur multiplie $MATH_SCALE_FACTOR pour donner le total de l’échelle. Une valeur de ‘1.2’ est un bon choix pour aller avec $MATH_SCALE_FACTOR = 1.4;. |
$EXTRA_IMAGE_SCALE |
Ceci peut être tenu pour un facteur d’échelle supplémentaire qui peut être appliqué à toutes les images générées. Lorsqu’elle est paramétrée, cette valeur indique qu’une échelle de $EXTRA_IMAGE_SCALE est appliquée lorsque les images sont crées, mais que leur hauteur et leur largeur doivent être enregistrées comme taille sans échelle. Ceci pour conduire gentiment le navigateur à afficher correctement à la bonne taille les images généralement trop grandes; à l’impression on obtient une meilleure qualité. Les valeurs de « 1.5 » et « 2 » donnent une bonne qualité d’impression à 600dpi. |
$PAPERSIZE = ’a5’; |
Spécifie la taille d’une page pour les figures composées ou affichées en mode math, quand une image doit être générée. Ceci affecte les longueurs des lignes de texte dans les images. Puisque les images du texte ou des mathématiques doivent user des tailles plus grandes que lorsqu’elles sont imprimées, ou bien la clarté est perdue dans les résolutions d’écran, ou il est conseillé d’utiliser un format de papier plus petit. Ceci est particulièrement le cas si les facteurs d’échelle $MATH_SCALE_FACTOR et $DISP_SCALE_FACTOR sont utilisés à la fois, ou bien quelques images peuvent devenir excessivement grandes, avec beaucoup d’espace blanc. |
$LINE_WIDTH = 500; |
Précédemment spécifié pour la largeur des images, quand le contenu devait être justifié à droite ou au centre. (N’est plus utilisé.) |
Les variables suivantes sont utilisées pour accéder aux utilitaires requis durant la génération d’image. Les localisations du fichier et du programme sur le système local sont établies par le script Perl configure-pstoimg et stockées dans $LATEX2HTMLDIR/local.pm comme code Perl, lu par pstoimg au moment requis. Après avoir lancé le script Perl configure-pstoimg, il n’est pas nécessaire de changer les valeurs obtenues. Celles montrées ci-dessous sont ce qu’on peut trouver sur le système de l’auteur ; elles sont données à titre d’illustration et ne représentent pas des valeurs par défaut. $GS_LIB = ’/usr/local/share/ghostscript/4.02’; $PNMCAT = ’/usr/local/bin/pnmcat’; $PPMQUANT = ’/usr/local/bin/ppmquant’; $PNMFLIP = ’/usr/local/bin/pnmflip’; $PPMTOGIF = ’/usr/local/bin/ppmtogif’; $HOWTO_TRANSPARENT_GIF = ’netpbm’; $GS_DEVICE = ’pnmraw’; $GS = ’/usr/local/bin/gs’; $PNMFILE = ’/usr/local/bin/pnmfile’; $HOWTO_INTERLACE_GIF = ’netpbm’; $PBMMAKE = ’/usr/local/bin/pbmmake’; $PNMCROP = ’/usr/local/bin/pnmcrop’; $TMP = ’/usr/var/tmp’; Les variables suivantes ne sont plus requises, puisqu’elles ont été remplacées par une information plus spécifique obtenue en utilisant le script Perl configure-pstoimg. $USENETPBM = 1; $PBMPLUSDIR = ’/usr/local/bin’; |
latex(1) |
Nikos Drakos, Computer Based Learning Unit, University of Leeds <nikos@cbl.leeds.ac.uk>. Plusieurs personnes ont contribué par leurs suggestions, leurs idées, leurs solutions, leur soutien et leur encouragement. Le principal mainteneur est Ross Moore. Cette page de manuel a été rédigée par Manoj Srivastava <srivasta@debian.org>, pour le système Debian GNU/Linux, fondé sur la documentation LaTeX qui accompagne le le programme. |
(France, 12/2001) : Jean-Pierre Delange <delange@imaginet.fr> |
latex2html(1) |